Il était une fois un petit bourgeon nommé "toi", un bourgeon si sophistiqué, si parfait, qu'il possèdait tous les pouvoirs, dont celui de vie et de mort, de naître et mourir sans limite, seule celle qu'il puisse imaginer, concevoir. Sa vérité naît de l'expérience et de l'expérimention et ne peut être et devenir ce qu'il est, faute de ce qu'il n'est pas. Quel pouvoir ne posséderait il pas ? Aucun il les à tous ? Pourquoi n'est-il pas conscient de cette merveille ? Car ici encore et toujours la vérité vient de l'expérience, donc pour connaître le savoir il est contraint de connaître l'ignorance. Dans ce processus le bourgeon pourrait se réjouir de ce situer à ce point où il ignore encore qui et quoi peut il devenir, car s'il se le demande, il ne va pas tarder à en faire l'expérience et de l’expérience de l’ignorance fera l’expérience du savoir. De cette vérité lui sera révélé la grandeur de ce qu’il est, ayant fait l’expérience d’être infiniment petit.
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