Les cygnes sauvages clament d'une douce lueur
Bruissant la multitude.
J'avais pensé les croiser d'un regard
Seul le silence s'entend de loin.
Poser la paupière souple de ta hanche blonde.
D'un doigt calme et replet
Souffrir d'un baiser.
Tu paraissais nue, toi, si bien vêtue.
Subrepticement s'aimer d'impatiences folles
Traquer l'innocence ourlée de soie
Agonie d'une valse lente : il pleut.
Ce soir, je m'ennuie de toi ...
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2 commentaires:
j'émerge, je vois qu'il y a de la belle lecture...Amitiés.
L'arrivée de l'hiver est plus propice à la rêverie qu'aux sorties.
Merci pour ton amicale traversée.
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