lundi 14 octobre 2013

Au début était la faute

La grande route est belle et son souffle me foudroie. je suis heureux globalement pas vous , n'est ce pas chez vous le cas ? Je vous aime vous savez. Mais bon, je dois tout vous dire, mes larmes sont impuissantes à calmer ma douleur ... j'ai fauté ... Oui, j'ai fauté et je ne me le pardonnerai jamais ... mais je dois me relever. En attendant, assis, je grogne contre moi même. Je fais le buffle. Soudain, un âne passe et me parle sur un événement à venir qui va, dit il transformer ma vie de buffle ... Je le regarde passer, disponible et heureux. Soudain, un âne passe et me parle sur un événement à venir qui va, dit il transformer ma vie de buffle ...
L'histoire se répète, et laboure des sillons rayés qui nous sautent à la gorge comme un prédateur sur sa proie Où est le laboureur ? le paysan des gouffres, qui soulèvera pour nous le bras et son saphir, vaincre les précipices ... Et cette folle en flamme nichée sur l'estrade des serments qui toute précise vise le centre de l’œil, touche et recrache notre propre sang. Où est le laboureur ? le paysan des gouffres, qui soulèvera pour nous le bras et son saphir, vaincre les précipices ...